Le CHU de Bejaia en collaboration avec le Service de médecine interne, organise à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète le 14 novembre


Le 13-11-2022

Le CHU de Bejaia en collaboration avec le Service de médecine interne, organise à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète le 14 novembre sous le slogan "Vivre avec le diabète", une campagne de 03 jours, le 14, 15 et 16 novembre 2022 à partir de 9h00, au niveau du centre d’Imagerie Médicale du CHU de Bejaia, pour le dépistage et la sensibilisation à l'importance du diagnostic précoce de cette maladie.

Également au CHU

Communiqué.

' La grippe compliquée en quelques chiffres. Au cours de la période allant du 26 janvier au 25 fevrier 2018, 22 cas ont été hospitalisés au niveau du CHU de Bejaia dans un tableau de grippe compliquée, ils ont tous bénéficié de prélèvements naso-pharyngé adressés à l’institut Pasteur d’Alger à la recherche du virus de la grippe. Nous avons reçu les résultats des 22 prélèvements, 13 ont été confirmés biologiquement. Sur le total de ces cas hospitalisés, 20 (90%) ont bien évolué et sont sortis de l’hôpital. Deux patients sont décédés, il s’agit pour le premier cas d’un malade jeune, suivi pour une maladie chronique, pour le deuxième, c’est une personne âgée qui a été hospitalisée dans un tableau de détresse respiratoire et décédée le même jour. Les prélèvements effectués chez ces deux patients sont revenus négatifs au virus de la grippe. Soulignons que sur l’ensemble de ces cas, une seule personne a été vaccinée contre la grippe et 16 cas (76%) avaient une ou plusieurs affections chroniques pouvant compliquer la grippe (cardiopathie, pneumopathie, diabète, obésité…) Parmi les résultats positifs, 10 cas (77%) étaient dus au virus de la grippe A/H1N1, deux (15 %) sont dus au virus B et un cas (8%) au virus A/H3N2. Notons que sur les 10 cas de grippe A/H1N1 enregistrés durant cette période, six étaient porteurs d’une maladie compliquant la grippe mais l’ensemble des malades ont bien évolué et ont quitté l’hôpital. Rappelons qu’à ce jour aucun cas de virus de la grippe porcine ou aviaire n’a été enregistré au CHU de Bejaia et d’après l’Institut Pasteur D’Alger, sur le territoire national. La Grippe est une maladie hautement contagieuse et la prévention reste le meilleur outil de lutte. Ces mesures concernent tous les sujets contacts et particulièrement les femmes enceintes, les vieillards, les sujets avec une pathologie cardiaques ou respiratoire chroniques.[http://pasteur.dz/…/vie-scientifi…/actuality/232-info-grippe] 1) La vaccination : est le moyen de prévention le plus efficace pour se protéger de la grippe notamment ses complications comme la pneumonie. Un délai de 15 jours après la vaccination est nécessaire pour atteindre le seuil de protection. Le vaccin est administré gratuitement pour les sujets âgés de plus de 65 ans et il est remboursé par la sécurité sociale. 2) Les mesures préventives complémentaires : - Lavage des mains : se laver fréquemment les mains à l’eau et au savon ou mieux avec une solution ou gel hydro- alcoolique (particulièrement pour le personnel médical et paramédical). - Limiter les contacts avec les personnes malades - Porter un masque ou une bavette quand on présente un syndrome grippal ou un rhume - Utiliser un mouchoir jetable pour les éternuements Dr Laoussati ep Leslous, Maitre assistante en épidémiologie Directrice des activité médicales et paramédicales Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia.'

CHU Béjaia Le 02-03-2018

Entretien exclusif du Quotidien National El Watan avec le Professeur Abdelmalek Danoune. DG du CHU de Béjaïa

' «Le départ de chirurgiens vers le privé est un phénomène national». Nous avons suivi ces jours-ci une certaine polémique en rapport avec le service de chirurgie générale du CHU. Y a-t-il malaise ? Plutôt que de parler de malaise, je dirai qu’il y a dynamique positive où l’objectif institutionnel est jalousement conservé. Je m’explique : on parle de départ dans le privé de certains chirurgiens. En effet, c’est une réalité et c’est un phénomène national. De grands professeurs de chirurgie, de cardiologie, de néphrologie, de radiologie et d’autres spécialités encore sont partis s’installer dans le privé. Ce n’est pas une réalité bougiote, c’est national. Concernant le CHU de Béjaïa, je dirai que ceux qui sont partis l’ont fait par choix et non parce qu’ils y ont été poussés. Si c’était le cas, le partenaire social, le syndicat des praticiens spécialistes, m’aurait interpellé immédiatement. En effet, j’ai eu à expliquer dans des réunions avec les partenaires concernés les motivations des uns et des autres et en partageant avec eux les défaillances constatées sur le terrain. Quand l’accompagnement est nécessaire pour améliorer les pratiques, donc le service rendu, nous le faisons. A ce jour, deux formations sur l’accueil et l’orientation ont été organisées et d’autres sont au programme concernant tous les corps. C’est quand même dommage de venir rappeler que le patient nécessite de l’écoute et de l’empathie. Nous sommes tous responsables chacun à son niveau et nous devons tous assumer. A ceux qui parlent d’aventuriers au CHU, je réplique en rappelant que notre seul objectif est de permettre à tout praticien d’exercer son art. L’expertise de tous nous intéresse et je souhaite leur adhésion pour bâtir ensemble ce CHU et cette faculté de médecine qui sont encore nouveau-nés. L’histoire ne peut pas s’accommoder d’approximation et d’hésitations car il s’agit de l’intérêt des malades et des étudiants. Des voix s’élèvent pour dire que le matériel destiné à une salle de cathétérisme est dans des cartons... Oui, j’en ai entendu parler et j’ai mis personnellement cela sur le compte de l’impatience des usagers et de leurs familles, car malheureusement les malades sont transférés pour les pace et les stent soit à Tizi Ouzou, soit à Alger, avec toutes les contraintes objectives que nous rencontrons, comme la surcharge des routes et les retards de prise en charge. La cardiologie interventionnelle à Béjaïa est un rêve tant caressé, comme la pénétrante, le gaz pour tous et le CHU. Elle permettra à la wilaya de prendre en charge la pathologie cardiaque, y compris faire des gestes invasifs tels que la pose de pacemaker, de stents, la coronographie, voire même le développement de techniques qui vont nous distinguer des autres établissements du pays : les techniques d’ablation qui coûtent les yeux de la tête à l’Etat lors de transferts à l’étranger. Il s’agit donc d’une opération acquise après trois années de lutte acharnée et inscrite sous l’intitulé «Acquisition, pré-installation et mise en service d’une salle d’angiographie mixte coronaire et vasculaire diagnostique et interventionnelle au profit du service de cardiologie du CHU Béjaïa». Nous sommes dans les délais pour sa mise en service et Béjaïa aura sa salle de cathé très bientôt, baptisée des noms de deux prestigieux médecins, mon maître, le professeur Christian Cabrol, médecin des pauvres à Paris, et le docteur Abdelkader Belabès, médecin des pauvres à Béjaïa. Connaissant la transition épidémiologique et le pourcentage des affections cardiovasculaires, on ne peut pas se payer le luxe d’être hors jeu sur cette question. Par ces actions qui demandent beaucoup d’énergie et de disponibilité et grâce au soutien des pouvoirs publics qui ne demandent qu’à être éclairés et sollicités à temps, le CHU de Béjaïa est au cœur même de sa responsabilité sociale, quand bien même la contrainte infrastructurelle serait permanente. En effet, avec ses structures éclatées (Khelil Amrane, Targa Ouzemour et Frantz Fanon), le CHU se trouve malheureusement le moins pourvu en lits d’hospitalisation, avec 470 lits pour une population de presque un million d’habitants. A propos de la chirurgie, d’aucuns espèrent voir se raccourcir les délais d’attente pour les rendez-vous. Y a-t-il une solution pour arriver à cela ? Nous avons inscrit pour la chirurgie justement, dans une dynamique de «ceinture de l’ogresse de la santé» dans la wilaya, pour paraphraser quelqu’un, un dispositif de jumelage intra-wilaya et inter-wilaya. Ce dispositif consiste à mobiliser durant les week-ends les équipes du CHU dans toutes les disciplines au niveau des EPH de la wilaya, Kherrata, Aokas, Amizour, Sidi Aich et Akbou, en prenant en charge les patients présentant des pathologies bénignes nécessitant un geste chirurgical (lithiase vésiculaire, hernie, ectopie testiculaire…). Ce programme qui répond aux instructions de Monsieur le ministre de la Santé vise à assurer une solidarité régionale intra et inter-wilaya, appelée jumelage, qui va permettre au CHU de récupérer sa vocation première qui est les soins de haut niveau, formation et recherche. Les directeurs des EPH, les chirurgiens, les AMAR sont tous invités à réussir cette action humanitaire d’envergure. Pour finir, y a-t-il un espoir de voir le personnel du CHU s’humaniser dans ses relations avec les patients et leurs accompagnateurs ? Bien sûr que oui, d’autant plus que dans les orientations de la World Federation of Medicine (Fédération internationale de médecine) le premier critère exigé pour entrer dans le temple de la médecine réside justement dans les prédispositions psychologiques d’humanisme, de don de soi, d’altruisme et la passion pour ce métier ô combien noble mais souvent ingrat. Tout cela entre justement dans la qualification de médecins Cinq étoiles, défendue par la Sidmef (Confédération internationale des doyens des facultés de médecine d’expression française) dont les experts ont eu déjà à nous orienter sur ce registre à Béjaïa. A ce titre, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, dans ses dernières orientations, a inscrit en priorité pour l’année 2018 une formation sur l’accueil et l’orientation en milieu hospitalier. Sinon, pour conclure, il ne devrait pas y avoir de lieu plus humanisé qu’un établissement de santé. Par Kamel Medjdoub Le Quotidien National El Watan du 21.02.2018'

CHU Béjaia Le 21-02-2018

Focus sur le Professeur ADJA et le CHUB

' L’émission de DZAIR TV qui s’est déroulée à l’Hôtel « Club ALOUI »-Tichy- sera diffusée demain à partir de 21 heures. Elle a été consacrée pour rendre hommage aux jeunes entrepreneurs Algériens post indépendance, porteurs du Flambeau et dignes héritiers des sacrifices consentis par les femmes et les hommes qui ont arraché leur liberté auprès de la quatrième puissance au monde. Nous vous invitons à suivre cette émission exclusive plaine de leçons et de surprises. Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel du CHU de Bejaia.'

CHU Béjaia Le 19-02-2018

Le CHU de Bejaia se renfoncera en 2018 « Smile Hospital ».

' Dans la perspective de renforcer ses services Hospitalo-universitaires chargés de la formation médicale et paramédicale, des soins de haut niveau et de la Recherche Scientifique, le CHU a bénéficié de 16 Postes Budgétaires dans le cadre du concours national pour la nomination au poste supérieur de chef de service HU, conformément à l’arrêté interministériel du 21.12.2017. Les postes ouverts sont répartis comme suit : Anatomie Pathologie, Anesthésie réanimation, Chirurgie Orthopédique et Traumatologie, Cardiologie, Chirurgie Maxillo-faciale, Epidémiologie, Gastro-entérologie, Gynécologie Obstétrique, Laboratoire Central, Maladies Infectieuses, Médecine du Travail, Médecine Légale, ORL, Ophtalmologie, Radiologie et Urgences Médico-chirurgicales. Ces nouvelles compétences « poids lourd », permettront sans aucun doute de poursuivre le processus de mise à niveau des services engagé il y a quelques années, dont l’objectif principal est d’offrir une meilleure qualité de soins. Ils s’attelleront comme leurs prédécesseurs à développer des réseaux de soins dans la wilaya et seront un motif de satisfaction pour toute la population, mais aussi pour nous, car il donne là un argument imparable pour le « dégèl » du CHU de Béjaia. Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel du CHU de Bejaia.'

CHU Béjaia Le 17-02-2018

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