#APPEL_A_CANDIDATURE
Formation Post-graduée en Sciences Médicales (CES)
Il est porté à la connaissance des Médecins Généralistes du #CHU_de_Bejaia que la Direction de la formation du Ministère de la Santé, lance un appel à candidature pour une formation post-graduée spécialisée en sciences médicales (C.E.S) dans les filières suivantes ;
• Médecine d’urgence
• Diabétologie
• Obstétrique
• Hygiène et épidémiologie hospitalière
• Maladies émergentes et ré-émergentes
• Addictologie
Ces cycles de formation, sanctionnés par un certificat d’études spécialisées en sciences médicales, sont ouverts aux candidats titulaires du diplôme en sciences médicales (médecine générale) et exerçant dans un établissement de santé publique.
Les intéressés sont invités de se rapprocher à la Sous Direction de la Formation du CHU de Bejaia, pour récupérer le formulaire de candidature à remplir et à déposer au plus tard, le jeudi le 26 Mai 2022.
Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel du CHU de Bejaia.
' Dans le cadre des manifestations scientifiques pour l’année 2018 et en collaboration avec la Faculté de Médecine de Bejaia, le Service des maladies Infectieuses du CHU de Bejaia dirigé par les Pr Nouasria et Docteur Boudrahem organise Sous le haut patronage de Monsieur le Ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, ses 2èmes Journées les 28 et 29 avril 2018. Le thème principal est : Les Antibiotiques et l’Antibio résistance : Problème mondial de santé humaine et animale. Cette manifestation Internationale d'actualité brulante sera abritée par l'Auditorium de Campus Aboudaou et verra la participation d’éminentes personnalités scientifiques en infectiologie, epidemiologie, pharmacologie, microbiologie, virologie et de médecine vétérinaire. Le programme de ces journées vise à faire le point sur la consommation des ATB en médecine humaine et vétérinaire, l’épidémiologie des résistances en Algérie et faire des propositions sur les moyens de lutte et de prévention à mettre en œuvre pour préserver l’efficacité de ces ATB. Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel du CHU de Bejaia.'
' Optimiser la prise en charge des prématurés De nature fragile et vulnérable, les enfants nés avant terme ou prématurés nécessitent une prise en charge pluridisciplinaire et continuelle en milieu hospitalier pour une couverture de soins très appropriée à cette frange de bébés. C’est du moins ce que l’on peut retenir de la première Journée de néonatologie organisée par le service de pédiatrie du CHU de Béjaïa, samedi dernier. Cette première rencontre dans ce domaine réservé aux soins des nouveau-nés, notamment les prématurés, constitue aussi un cadre de formation continue pour cette chaine de professionnels de la santé ayant pour mission de s’occuper de ces nouveau-nés venus au monde avant terme. Ainsi, sages femmes, puéricultrices et pédiatres forment tout le beau monde au service des prématurés, sans oublier le rôle des parents qui reste capital, lesquels «doivent impérativement s’intégrer dans les services de néonatalogie», dira le professeur Ahmane, chef de service de pédiatrie et de néonatologie du CHU qui a axé son intervention sur la réanimation du nouveau-né. Dans son exposé, l’intervenant insistera sur la nécessité d’un équipement adéquat de la salle de naissance avec une bonne qualification du personnel à la hauteur des besoins en soins multiples de ces nouveau-nés. En somme, les intervenants lors de cette rencontre ont débattu des pathologies les plus fréquentes chez les prématurés, et ce, dans la perspective de former le personnel soignant à l’effet d’optimiser la prise en charge et d’améliorer les soins en néonatologie. Parmi ces maladies l’on citera les convulsions, les infections materno-fœtales, les anémies et les ictères. L’on évoquera le cas d’enfants nés de mères diabétiques et aussi de la prise en charge des urgences chirurgicales néo-natales. Une équipe médicale constantinoise a pris part à cette Journée. Ainsi, le professeur Lechehab, chef de service de radiologie du CHU de la ville des ponts suspendus, a insisté, lors de son intervention, sur l’importance de l’IRM dans le diagnostic des méningites du nouveau-né. Toutes ces explications iront dans le sens d’améliorer les connaissances du personnel de néonatologie, appelé à maitriser les soins les plus appropriés aux prématurés, côté médical, ainsi que le côté technique et logistique, étant des techniques de pointe. L’on parle de prématurité pour les enfants nés avant 37 semaines d’aménorrhée, de grande prématurité pour ceux qui naissent avant les 32 semaines d’aménorrhée, et d’extrême prématurité avant 28 semaines d’aménorrhée, sachant que la durée d’une grossesse moyenne est de 36 semaines. Ces nouveau-nés, trouvant des difficultés à s’adapter au monde extérieur, exigent ainsi un séjour dans une couveuse. Et vu le risque élevé de garder des séquelles de la prématurité, les pédiatres et spécialistes de la néonatologie travaillent dans le sens de diminuer le taux de mortalité chez les prématurés. L’accueil et l’amélioration des prestations en pédiatrie-néonatologie constituent un autre souci pour les responsables du CHU de Béjaïa qui reconnaissant les limites du service en question qui souffre de l’exigüité, ce qui constitue un obstacle majeur pour son développement. Tels sont, entre autres, les objectifs assignés à cette première Journée de vulgarisation sur les connaissances médicales liées à la néonatologie, constituant les prémices au projet d’extension du service Mère/Enfant du CHU, comme il a été évoqué par le professeur Danoune, DG de cet établissement. Ce futur service qui sera implanté au niveau de la clinique Targa Ouzemour verra une capacité d’accueil de 40 lits pour les prématurés, puisqu’il s’agira d’un service de référence. Par; Nadir Touati, le quotidien la Dépêche de Kabylie du 25.04.2018 Bureau de l'Information, de la Communication et d'Audio-visuel. du CHU de Bejaia'
' C’est en présence de tous les acteurs concernés par la question du cancer du sein que le Professeur OUDAI a présidé une réunion de coordination pluridisciplinaire autour d’un projet de dépistage du cancer de sein à Bejaia. La réunion a été rehaussée par la présence du Professeur BARKAT, Professeur associé avec la Faculté de Médecine et du CHU de Bejaia, le Professeur BOUKOUFFA, Anatomiste, auteure d’une thèse qui a fait l’objet de plusieurs publications internationales, du Professeur NAAMOUNI, Chef de service de radiologie au CHU de Annaba. Ont assisté également, les oncologues, les épidémiologistes, les anatomo-pathologistes, les manipulateurs de radiologie, les informaticiens et les médecins radiologues conventionnés avec le CHUB. Avant que les débats soient entamés, plusieurs communications ont été présentées par les spécialistes présents. Des communications sous forme de simulation des rôles de chaque discipline. Bureau de l’Information, de la Communication et d’Audio-visuel du CHU de Bejaia'
' La direction générale du CHU de Béjaïa a organisé le 16 avril dernier une journée de sensibilisation et d’information sur les dangers liés à Internet, notamment, au jeu de la Baleine bleue au niveau du CEM Naceria, afin de cibler les élèves ainsi que leurs parents. En décembre 2017, ce jeu a fait deux victimes à Béjaïa, des lycéens âgés de 15 et 16 ans, originaires de Sidi Aïch, au sud de la wilaya. Depuis cette date, d’autres tentatives de suicide à travers le défi de ce jeu morbide ont été enregistrées au niveau du CHU de Béjaïa, qui a créé une cellule de prise en charge médico-psychologique pour accueillir et prendre en charge les victimes. Selon Bouzarari Fazia, du service de médecine légale du CHU, unité Franz Fanon, qui a présenté une vignette clinique d’un cas d’une fille âgée de 16 ans, «le CHU a enregistré pas moins de 18 cas d’enfants ayant tenté de mettre fin à leur vie à travers le défi que propose ce jeu Internet». Mme Bouzarari a estimé, après son analyse de ce cas précis, que «la Baleine bleue est un jeu du web ne pouvant être qu’un facteur favorisant le suicide chez des sujets vulnérables présentant un terrain de troubles psychologiques préexistants. C’est le cas de cette patiente qui présentait un syndrome dépressif». En effet, le diagnostic psychologique sur la fille de 16 ans a remonté des «troubles de concentration, des troubles de l’attention, de sommeil, perte d’appétit, sentiments de culpabilité et des idées et scénarios suicidaires». Des symptômes enclenchés par «des problèmes relationnels à l’école, mauvaises fréquentations en milieu scolaire avec notion de chantage de la part de ses camarades (prise de photos compromettantes) et absence de communication familiale». Cette journée de sensibilisation a été marquée, notamment, par le témoignage d’un parent d’une élève originaire de Timezrit qui a échappé miraculeusement à ce jeu de la mort. Mme Djedjig, psychologue orthophoniste, qui a pris en charge cette enfant, a indiqué que «le changement du comportement de sa patiente, 14 ans, élève de la 3e année moyenne, a été constaté à la fin du premier trimestre de l’année 2018. L’échec scolaire serait le déclencheur principal de son recours à ce jeu, qui est perçu par les adolescents comme un moyen de se suicider». L’essentiel des conférences présentées par les psychologues de la cellule de prise en charge médico-psychologique a traité de «la psychologie de l’enfant et de l’adolescent et la relation parents/adolescents», et du «comment communiquer avec son enfant», où des conseils pratiques ont été donnés par les spécialistes pour améliorer la communication entre les parents et leurs enfants. «Dans notre société, il existe un certain manque de communication dans la relation entre les parents et leurs enfants. Ceci est en grande partie dû à l’existence de sujets tabous que les parents ont peur d’aborder, par crainte du pire, ou tout simplement parce qu’ils n’ont pas eux-mêmes communiqué avec leurs parents et ne jugent donc pas forcément nécessaire de le faire avec leurs enfants», atteste le psychologue Abbassi Abdeslam, dans son intervention. Concernés au premier plan, les quelques parents présents ont eu droit à une communication sur «le contrôle parental», où Mme Adrar Meriem a donné des «signes d’alerte» identifiables sur les adolescents qui s’adonnent au jeu de la Baleine bleue. On peut observer dans ce cas, selon l’oratrice, «l’attachement d’une façon anormale de l’enfant à son téléphone, son détachement de la vie sociale et familiale». «Souvent l’enfant éprouve une baisse d’estime de soi, des sautes d’humeur, changement de ses habitudes et sommeil instable et perturbé en plus du sentiment de solitude», ajoute-t-elle. En plus de la communication, les parents doivent «encadrer l’utilisation d’Internet, éviter de laisser un enfant seul devant l’écran, placer l’ordinateur dans une pièce commune, surtout pas dans sa chambre, afin de garder un œil sur ce qu’il fait. Et si votre adolescent possède un smartphone il faut limiter l’argent de poche pour diminuer au maximum l’accès à la 3G», avant que les signaux n’arrivent. Par; Nordine Douici, El Watan du 22.04.2018 Bureau de l'Information, de la Communication et d'Ausio-visuel du CHU de Bejaia. '